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NOS OBJECTIFS – NOS PROJETS

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L’association dite “Aux Anciens du Bouguen” fondée en Juin 1995 à pour but de retrouver , conserver , écrire la mémoire des
quartiers des baraques de Brest d’après guerre. D’ou l’idée de créer un site web, pour informer les personnes qui s’intéressent à la mémoire de Brest.

Perhirin Georges, Président de l’association je suis présent depuis le début en 1995. La grande Famille des quartiers de baraques, a son histoire à raconter avec ses souvenirs, ses anecdotes et ses photos. La renaissance d’une époque.

Un grand merci à ces femmes et hommes qui sont à l’origine de l’association, Les familles Lescop, Lalande, Derdouck, Kermarrec, Le Coq, Le Roi, Roué, Gueguen, Perhirin, Rohel. Et, tous les autres que je ne site pas car la liste est longue.

 

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L’association, “Les Amis des baraques, de Kérangoff, du Landais, du Rouisan et de Quéliverzan” à pour buts :

  1. De conserver la mémoire de la vie en baraques, après la guerre 1939-1945), (collectes de photos, documents, anecdotes, histoires etc…)
  2. D’animer la vie culturelle, (expositions, conférences, projections de films, de photos)

Elle coopère à la bonne marche du site.

Créé en 1996, comme association de fait, sous le nom « Les Amis des baraques de Kérangoff » elle n’existe en association déclarée que depuis janvier 2004.
Dans ce travail de fourmis nous avons besoin de toute les bonnes volontés, aussi n’hésitez pas à nous contacter.

 

UN DES GOSSES DU BOUGUEN, SON VOYAGE AU VIETNAM

Réfugié Brestois de 1941 à 1944,

« J’ai mangé le pain des poules ».

( LeTélégramme de Brest )

Louis Roué a connu la vie en baraques au Bouguen puis au Landais dès 1946.
Une belle tranche de vie exposée en photos lors de la fête des anciens du Bouguen.
Mais ici il raconte sa vie difficile de petit réfugié brestois pendant la guerre.
A la fête du Bouguen, Louis Roué a évoqué son parcours de réfugié et sa vie dans les baraques.
Quand Louis Roué rejoint Cannes en 48-49 ce n’est pas pour faire le beau sur la croisette. Et pourtant ce qu’il a vécu les années précédentes aurait pu constituer la trame d’un des films réalisés sur le conflit 39-45.
Anémié à la suite de plusieurs années de vaches maigres, le jeune Louis est en villégiature médicale sur la Côte d’Azur. Une cure de neuf mois sera nécessaire pour le remettre sur pied. D’autres fréquenteront les sanatoriums.