Quelques petites modifications dans les recherches de Monsieur Le Mée.
Son adresse pour pouvoir le contacter.
Son n° téléphone. Pour que les membres, Cousins, cousines, et autres puissent le rencontrer. Tisser des liens avec d’autres membres de sa famille, anciens voisins, de Brest, Quimperlé (Crêperie Ty-Coz, 7 rue DOM Maurice) 1930/1956,). La période dramatique 1939/1945 de ses Grands Parents. Son grand-père homme admirable, très estimé par ses pairs, engagé volontaire 1914/1918, 1939/1945, quatre fois médaillés Légion D’Honneur. Sous Lieutenant au célèbre Cadre Noir de Saumur, hussard, cavalerie 1918/1914. Formateur. Chef de gare à Quimperlé. FAE. Dessinateur industriel à Hennebont. Dénoncé pour faits de Résistance : réseau vengeance, Front Français, résistance Fer (Nuit et Brouillard) disparaîtra à Nordhausen, Caserne Boëlk, V 2, usine en Mars 1945.
Ce monsieur recherche depuis 40 ans, l’existence des siens.
Sur Brest, ses anciens voisins du quartier de baraques de l’Oncor.
Sur Quimperlé, les membres de sa Famille.
Et au niveau National des Renseignements.
Exemple : Brest Archives entreprise Le Joncour Paul, pour son père, décorateur paquebot Antilles, construit à Brest.
Merci pour lui.
Monsieur Le Mée Jean-Paul. Résidence Duquesne Manio. A rue de la Voûte, Lorient.
02/97/64/28/91.
Recherche à sa demande, avec son autorisation pour les renseignements ci-dessus. Recherche sans aucun but Lucratif, de ma part, juste pour rendre service à ce Monsieur.
Bonjour,
Je recherche pour retracer la vie de ma famille, des renseignements concernant la vie de ma famille, dans le quartier du Bouguen, entre 1950 et 1958. Une partie se situe à Brest (dans le quartier du Bouguen). Je ne connais pas l’adresse exacte.
Mon père. Pierre Le Mée, né en 1927. Qui avait rejoints le maquis, a participé au front de Lorient (pour la durée de la guerre) il s’installait ensuite à Brest.
Il était employé, comme graveur sur glace et décorateur, aux grandes miroiteries LE JONCOUR- PAUL. Mon frère Pierrick et moi, étions à l’école maternelle dans le quartier du Bouguen. (Pas de photos de classes). Mon père, avait dans ces année-là, une amie à la Mairie, Mademoiselle COMBOT. J’aurais vivement souhaité retrouver (des documents d’époques) photos, journaux, livres. Notre quartier était alors en pleine reconstruction. Les baraques américaines ont étaient démolies évidemment depuis. Ma mère y avait à cette époque des voisins et Amis. (Les familles Lacresse et Bonniven) dont les enfants étaient dans les mêmes classes que nous.
Les Familles Lacresse et Bonniven
J’aurais plaisir de rentrer en contact avec des membres de ces familles ! Pour relater ce passé, et peut être retrouvé des photos de nos familles. Un autre de mes frères est né à Brest en 1954. Jean Luc). J’ai eu des contacts avec la mairie (mais je comprends que le temps leur manque et qu’ils ne détiennent pas les archives de cette époque). Mes recherches, Brest Métropole Habitat, anciennement le service de relogement provisoire en baraques, mairie de Brest, l’association des amis du Bouguen, que j’ai mandaté pour essayer de retrouver des éléments de ma jeunesse. Monsieur Mérienne Yvon, ancien employé de l’entreprise Paul Le Joncour. Mon père travaillé aussi en cabine de sablage. il allait aussi aux répétitions du Bagad Brest Saint Marc, 1954/1955. Mon frère Pierrick né à Quimperlé en 1947, se rappelle les séances de cinéma, le Celtic, Select. Quand nous sommes arrivés sur Brest mon père nous a trouvé un logement rue Sébastopol (n° ?) près de son travail(1950).
D’après ma Mère, une habitation insalubre, suite aux bombardements) Nous étions comme beaucoup sinistrée, cela nous a permis d’avoir un logement dans le quartier de l’ONCOR AU Bouguen, nous trouvons des traces de notre passage dans les archives de Mr Perhirin Georges. J’ai le souvenir d’un camion de charbon et de petit-bois (bûchettes) avec de ligatures de fil de fer. Notre père avait décoré notre chambre sur le thème. Placid et Muso et Pif. Pif. Illustrés du Parti communiste de Brest (Humanité, Ouest –Matin, qu’il allait distribuer en fin de semaine avec sa cellule (Bouguen, ou zone la plus proche) ? à cette époque, le plus gros marchand de boissons, limonades, charbon de Brest (Étant sympathisant du P.C leur donnait de l’argent et prêtait ses camions.
Mon père sortait de la résistance (Maquis, Front de Lorient, 2e DB, rangers Bataillon GTEF.512. (Médaillé de l’ordre de libération) La Bretagne n’était libérée que depuis cinq ans en laissant d’affreuses cicatrices à vifs, dans la pierre et les hommes, dont mes Grands Parents, mes Parents, et même nous les enfants subissions encore les privations de cette guerre. Mon grand-père chef de gare F.A.E. à Quimperlé (SNCF) au moins depuis 1942, était dans la Résistance (agent de Londres) armes, émetteur récepteur, faux papiers organigrammes, sabotages, etc. Front national, Résistance Fer, à son domicile 7 rue Dom Motrice, quatre fois médaillés dont Légion D’honneur, dénoncé par quelqu’un de très proche ! Et le surveillant, d’après un interprète alsacien (Sauër) Feld kommandantur) qui a eu la lettre entre les mains et reconnu l’écriture (dossier, lettre au tribunal de Quimper avec simulacre de procès) sans doutes encore aux Archives départementales. Rue Henri-Bourde de la Rognerie. Quimper.
J’ai à plusieurs reprises fait des demandes de communication, ainsi qu’aux ministères des Armées, Archives de la défense à Versailles, tout cela sans résultats. 40 ans de démarches, sans parler, de nombreuses démarches afin de retrouver ses dossiers du Cadre Noir de Saumur 1919/1936 en plusieurs missions, avec un bureau en Seine- Centrale, sous lieutenant, cavalerie-hussard, engagé volontaire (1914/1918, là aussi, on m’a dit qu’il n’y avait plus rien, textuellement selon le bureau à Saumur du Président des amis du Cadre Noir, tout aurait disparu (censure ?) Alors que par téléphone l’ancien Président m’assurait que je recevrais dossiers, documents, photos en 2015/2016 que tout était conservé quel était ce bureau de recrutement à Paris ? Car il est marqué sur la seule feuille militaire, en ma possession, toutes ses campagnes, matricules, missions, même pendant son emploi SNCF, Quimperlé-Lamballe, qu’il quittait souvent pour ce bureau en Seine-Centrale, ou il est passé officier le 13/02/1936 (C.M. 12272- 2¬/10- F5em 29/11/35 et la CV 2248- 2/11, 24/02/1927, dans les années 35/38, petit mon Père l’accompagnait au cours de ses voyages, mon grand-père le déposait dans la famille à Paris.
Et pour finir cette recherche comme j’avance dans l’âge, je cherche des renseignements sur cette société, de Miroiterie, Le Joncour Paul, qui a fermé sans archives laissant à l’entreprise
SAPM a été créé en 1983 lorsqu’une partie des salariés de l’ancienne société Le Joncour ont racheté leur outil de travail pour créer une société coopérative de production, la SAPM, pour Société Armoricaine des Produits de Miroiterie. Situé 16 rue de l’eau blanche, à Brest, SAPM
Un autre miroitier de Guipavas ancien de Le Joncour Paul a aussi ouvert son entreprise.
Mes parents ont du quittés Brest en Catastrophe, et aussi la maison Le Joncour, fin 1958. pour rentrés sur Quimperlé 7 rue Dom Morice crêperie TY-COZ, malheureusement en laissant tout derrière nous, meubles, vaisselle, vêtements, papiers, la Mairie de Brest à l’époque a mit au garde meubles, mais ou ? Mon père distribuait le dimanche des tracs pour la paix en Indochine, avec François Echardour, Edouard Mazé, Henri Martin, incarcéré, mon père se retrouvait souvent au commissariat du secteur ou il a connût quelques violences ! mon père a aussi gravé les grandes glaces du Paquebot, « Les Antilles » 12 signes du Zodiaque, un Chris en croix, ce paquebot de luxe baptisé à Brest en 52/53 ? A sombré le 8 janvier 1971, suite à un incendie (Iles Moustique).